Centre Pompidou

L’histoire de la Tour Montparnasse commença dès 1934 lorsque la SNCF considéra que la gare Montparnasse ne répondait plus aux besoins croissants de transport de l'époque. Le projet de reconstruction déboucha sur une opération d’urbanisme d'envergure qui aboutit au déplacement de la gare dans une zone plus dégagée.

En 1959

 les premières études de la Tour Montparnasse sont lancées, le projet historique est critiqué pour sa hauteur et entraîne des ralentissements.

Le projet gagnant, réalisé de juin 1966 au printemps 1969, regroupe quatre architectes : Urbain Cassan, Eugène Beaudouin, Louis de Hoÿm de Marien et Jean Saubot.

En 1968

 André Malraux accorde le permis de construire.

En 1969

Georges Pompidou, alors Président de la République, souhaite doter Paris d’infrastructures modernes et accorde la construction d’un véritable ensemble avec un centre commercial. La construction de la Tour Montparnasse est alors entamée.

Au XVIIe siècle, Louis XIV est à la tête de la plus grande armée d’Europe. Conscient que les soldats sont les premiers garants de la grandeur française, le Roi-Soleil décide de l’édification d’un grand bâtiment pour accueillir ceux qui ont servi l’armée royale. La cité des Invalides ouvre alors aux vétérans dès 1674. À la fois hospice, caserne, couvent, hôpital et manufacture, l'Hôtel est une véritable cité réglementée selon un système à la fois militaire et religieux. Plus de 4 000 pensionnaires vivent alors entre les murs du site.

Aujourd’hui encore, l’Hôtel des Invalides poursuit sa vocation initiale en abritant l’Institution Nationale des Invalides

 L'Arc de Triomphe est l'un des symboles les plus emblématiques de Paris connu tout à travers le monde. C'est Napoléon Ier, au lendemain de la bataille d'Austerlitz, qui ordonne la construction de cet arc de triomphe à la gloire de la Grande Armée.

Débutés en 1806 sous la direction de l'architecte Jean-François-Thérèse Chalgrin, les travaux d'édification ne s'achèveront qu'en 1830. Inauguré le 29 juillet 1836, le monument reçut sa consécration officielle qu'en 1840 quand le char funèbre ramenant le corps de Napoléon passa sous sa voûte.

Les touristes peuvent encore aujourd'hui admirer des gravures et sculptures représentant les grandes batailles de l’Empire et de la Révolution. L'Arc abrite depuis 1920 une tombe, celle d’un soldat français mort durant la Première Guerre Mondiale : le soldat inconnu.

((VISITE GRATUIT))  Venez découvrir la magnifique vue depuis le Parvis de la Basilique.

Après plus de 40 ans de travaux, le Sacré-Cœur est achevé en 1914. Cette basilique renvoi au cœur de Jésus, cœur sacré, qui est représenté en or sur une mosaïque de 475 m2 faisant d'elle l'une des plus grandes mosaïques du monde.

Vous aussi, venez admirer la beauté de cette Basilique dont le monde entier nous envi !

Le cabaret Moulin Rouge a été fondé en 1889 par Joseph Oller (1839-1922) et Charles Zidler (1831-1897), la même année où fut inaugurée la Tour Eiffel Ouvert le 10 octobre en bas de la butte Montmartre, les fondateurs souhaitaient offrir un lieu de divertissement populaire.

Après un incendie en 1915 qui détruisit le Moulin Rouge, celui-ci ne fut reconstruit que dix années plus tard ! À cette époque, l’actrice, chanteuse et danseuse Mistinguett devint co-Directrice du cabaret pour marquer le lieu de son empreinte. Artiste vedette de la « Revue Mistinguett » (1925), elle fut aussi directrice des ateliers de couture. Ses chansons comme « Ça, c’est Paris ! » ou « Il m’a vue nue » sont indissociables du Moulin Rouge, de même que « On m’suit » chantée avec le célèbre acteur Jean Gabin.

Lorsque Mistinguett quitta le Moulin Rouge, le théâtre disposant de 1 500 places assises fut transformé en club dansant durant la seconde guerre mondiale. C’est une époque où le Moulin perdit de son faste malgré les représentations d’Edith Piaf et d’Yves Montand en 1944.

L'Opéra Garnier est reconnu pour être l'un des plus beaux et prestigieux opéras du monde, par son architecture autant que sa programmation très exigeante.

Il a été construit par l'architecte Charles Garnier pour l'empereur Napoléon III à partir de 1861, mais il a finalement été inauguré sous la Troisième République, le 5 janvier 1875.

C'est Napoléon III qui décida de la construction de ce théâtre. Il a choisi cet emplacement car le lieu est stratégique (au cœur de Paris et à l'intersection des Grands Boulevards) et la place majestueuse.

Le Panthéon, créé sous les ordres de Louis XV et inauguré en 1793 fut, d’abord, un lieu de culte érigé pour Sainte-Geneviève. Le Panthéon est un monument néo-classique décoré par les plus belles peintures du XIXème siècle.

C’est à partir de 1885 qu’on commença à y entreposer les personnalités importantes de l’Histoire Française, à commencer par Victor Hugo mais encore Rousseau, Voltaire, Jean Moulin, Pierre et Marie Curie ou, plus récemment, Simone Veil.

Le Panthéon se trouve dans un quartier très dynamique et universitaire (la célèbre Université Paris Sorbonne).

A partir de 1239, le très croyant Louis IX, dit Saint Louis, commence à acquérir les Saintes Reliques du Christ. Il fit l'acquisition de la Sainte Couronne à prix d’or : 135 000 livres tournois soit plus de la moitié du revenu annuel du domaine royal !

 Deux ans plus tard, en 1241, il achète un morceau de la Vraie Croix et sept reliques de la Passion du Christ puis, l’année suivante, la Sainte Lance et de la Sainte Éponge.

Ces acquisitions permettent d’accroître le prestige de la France et de Paris qui devient capitale de la chrétienté et qui est perçue comme la nouvelle Jérusalem.

Pour affirmer le lien sacré entre la couronne et les reliques, Saint Louis choisit d’entreposer celles-ci au sein de la résidence royale : le Palais de la Cité. Afin de vénérer les reliques comme il se doit, le Roi décide de faire édifier, au sein du Palais, une chapelle conçue comme un véritable reliquaire : c’est ainsi que naît la Sainte-Chapelle dont l’édification s’étale entre 1241 et 1248.

Sa construction coûte 40 000 livres tournois, une somme déjà conséquente mais qui reste bien peu au regard du prix des reliques : aussi merveilleuse soit-elle, la Sainte-Chapelle n’est « qu’un » écrin pour ces dernières.